Toulouse illustre un marché dynamique avec une valorisation croissante de la performance énergétique. Les maisons DPE A-B (4 472€/m²) se négocient 136€/m² au-dessus des C-D-E et 445€/m² au-dessus des F-G, soit une décote de 10% pour les passoires thermiques. Le potentiel de rénovation négatif (-181€/m²) indique une surévaluation relative des biens énergivores.
Pour les appartements, la situation s'inverse curieusement : les C-D-E (3 675€/m²) et F-G (3 743€/m²) se valorisent légèrement mieux que prévu, créant un potentiel de rénovation négatif de -800€/m². Cette anomalie pourrait s'expliquer par la forte proportion d'investisseurs locatifs moins sensibles aux charges énergétiques. L'évolution temporelle montre néanmoins une correction progressive, avec une appréciation des biens économes sur les derniers trimestres.
Oui sur les appartements, où les F-G (3 743€/m²) valent plus que les C-D-E (3 675€/m²). Cette inversion génère un potentiel négatif record de -800€/m². La forte proportion d'investisseurs locatifs, moins sensibles aux charges, maintient des valorisations élevées pour les passoires thermiques.
Oui sur les appartements, où les F-G (3 743€/m²) valent plus que les C-D-E (3 675€/m²). Cette inversion génère un potentiel négatif record de -800€/m². La forte proportion d'investisseurs locatifs, moins sensibles aux charges, maintient des valorisations élevées pour les passoires thermiques.