Reims affiche un marché champenois avec des écarts DPE significatifs. Les maisons DPE A-B (3 034€/m²) se négocient 260€/m² au-dessus des C-D-E et 566€/m² au-dessus des F-G. Cette décote de 19% génère un potentiel de rénovation négatif (-53€/m²).
Pour les appartements, les écarts sont plus contenus : 3 737€/m² pour les A-B contre 2 979€/m² pour les F-G. L'évolution temporelle montre une forte volatilité, avec des variations dépassant 20% sur certains trimestres. Cette instabilité pourrait refléter l'influence du marché parisien accessible en TGV et les variations saisonnières liées au tourisme viticole.
Indirectement, en créant une volatilité importante. Les maisons A-B varient de 2 822€/m² à 3 065€/m² selon les trimestres. La décote de 566€/m² pour les F-G reste stable, générant un potentiel négatif (-53€/m²). Les acquéreurs parisiens privilégient les biens économes mais n'acceptent pas de surprime excessive.
Indirectement, en créant une volatilité importante. Les maisons A-B varient de 2 822€/m² à 3 065€/m² selon les trimestres. La décote de 566€/m² pour les F-G reste stable, générant un potentiel négatif (-53€/m²). Les acquéreurs parisiens privilégient les biens économes mais n'acceptent pas de surprime excessive.