Orléans affiche un marché abordable avec une inversion DPE notable. Les maisons DPE C-D-E (2 724€/m²) se vendent plus cher que les A-B (2 440€/m²), tandis que les F-G restent proches à 2 458€/m². Cette anomalie génère un potentiel de rénovation négatif (-134€/m²).
Pour les appartements, la situation est plus classique : 3 319€/m² pour les A-B contre 3 008€/m² pour les F-G. L'évolution temporelle montre une forte volatilité, particulièrement sur les appartements A-B qui varient de 3 491€/m² à 3 996€/m² selon les trimestres. Cette instabilité pourrait refléter l'influence du marché parisien à proximité.
Les maisons C-D-E (2 724€/m²) dépassent les A-B (2 440€/m²), reflétant la valorisation du patrimoine architectural local. Les demeures anciennes du centre, malgré leurs performances médiocres, bénéficient d'emplacements et d'un cachet supérieurs. Le potentiel négatif (-134€/m²) confirme cette prime patrimoniale.
Les maisons C-D-E (2 724€/m²) dépassent les A-B (2 440€/m²), reflétant la valorisation du patrimoine architectural local. Les demeures anciennes du centre, malgré leurs performances médiocres, bénéficient d'emplacements et d'un cachet supérieurs. Le potentiel négatif (-134€/m²) confirme cette prime patrimoniale.