Nice présente le marché le plus valorisé après Paris, avec des dynamiques DPE contrastées. Les maisons DPE A-B atteignent 7 595€/m², pratiquement au même niveau que les C-D-E (6 642€/m²), mais avec une décote massive de 1 120€/m² pour les F-G (5 497€/m²). Ce différentiel de 15% génère un potentiel de rénovation de 456€/m².
Le marché des appartements suit une logique similaire : 6 885€/m² pour les A-B contre 5 876€/m² pour les F-G. L'analyse temporelle révèle une volatilité importante, avec des variations trimestrielles de plus de 10% pour certaines classes. Cette instabilité suggère un marché en pleine restructuration, où les acheteurs internationaux traditionnellement moins sensibles au DPE cèdent progressivement la place à une clientèle locale plus attentive aux coûts énergétiques.
Sur les maisons, l'écart record de 1 120€/m² entre A-B et F-G génère paradoxalement un potentiel positif de 456€/m², le meilleur de France. Cette rentabilité s'explique par des prix très élevés qui amortissent mieux les coûts de travaux. La clientèle aisée valorise fortement le confort thermique.
Sur les maisons, l'écart record de 1 120€/m² entre A-B et F-G génère paradoxalement un potentiel positif de 456€/m², le meilleur de France. Cette rentabilité s'explique par des prix très élevés qui amortissent mieux les coûts de travaux. La clientèle aisée valorise fortement le confort thermique.