Nantes affiche un marché mature avec une valorisation équilibrée des performances énergétiques. Les maisons DPE A-B (4 528€/m²) se négocient 54€/m² au-dessus des C-D-E et 384€/m² au-dessus des F-G. Cette décote modérée de 8% génère un potentiel de rénovation négatif (-223€/m²), indiquant une anticipation correcte du marché.
Sur le segment des appartements, les écarts restent contenus : 4 218€/m² pour les A-B contre 3 696€/m² pour les F-G. L'analyse temporelle révèle une progression régulière de toutes les classes énergétiques, portée par l'attractivité globale de la métropole. Cette croissance uniforme suggère que le dynamisme économique local compense les différences de performance énergétique, maintenant une demande soutenue sur l'ensemble du parc immobilier.
Le dynamisme économique maintient une croissance uniforme (+10% sur un an toutes classes confondues), limitant les écarts DPE. Les maisons F-G ne subissent que 384€/m² de décote, générant un potentiel négatif (-223€/m²). L'attractivité globale de la métropole compense les performances énergétiques médiocres.
Le dynamisme économique maintient une croissance uniforme (+10% sur un an toutes classes confondues), limitant les écarts DPE. Les maisons F-G ne subissent que 384€/m² de décote, générant un potentiel négatif (-223€/m²). L'attractivité globale de la métropole compense les performances énergétiques médiocres.
