Marseille affiche un marché polarisé avec des écarts significatifs entre classes énergétiques. Les maisons DPE A-B (5 669€/m²) dominent avec une prime de 283€/m² sur les C-D-E et 610€/m² sur les F-G. Paradoxalement, le potentiel de rénovation est négatif (-16€/m²), suggérant que le marché anticipe déjà correctement la valeur post-travaux.
Sur le segment des appartements, l'écart est plus prononcé : 4 713€/m² pour les A-B contre 3 466€/m² pour les F-G, soit une décote de 26%. L'évolution sur cinq trimestres montre une progression des biens économes (+10% pour les maisons A-B) tandis que les passoires thermiques se dévalorisent. Cette dynamique reflète la prise de conscience croissante des enjeux énergétiques dans une ville méditerranéenne où le confort thermique devient crucial.
Marseille montre une forte sensibilité au DPE sur les appartements (26% d'écart) mais un potentiel de rénovation quasi-nul (-16€/m² maisons, -198€/m² appartements). Cette situation paradoxale s'explique par des coûts de travaux élevés dans les Bouches-du-Rhône et une valorisation déjà optimale des différentes classes énergétiques.
Marseille montre une forte sensibilité au DPE sur les appartements (26% d'écart) mais un potentiel de rénovation quasi-nul (-16€/m² maisons, -198€/m² appartements). Cette situation paradoxale s'explique par des coûts de travaux élevés dans les Bouches-du-Rhône et une valorisation déjà optimale des différentes classes énergétiques.