Lyon illustre un marché en transition énergétique. Les maisons DPE A-B (5 944€/m²) bénéficient d'une prime modérée de 111€/m² sur les C-D-E, mais l'écart avec les F-G reste limité (52€/m² seulement). Cette faible différenciation suggère un marché encore peu mature sur les enjeux DPE. Le potentiel de rénovation négatif (-599€/m²) indique une surévaluation des passoires thermiques.
Pour les appartements, la tendance est plus claire : 5 799€/m² pour les A-B contre 4 675€/m² pour les F-G, soit une décote de 19%. L'évolution temporelle révèle une divergence croissante : les biens économes progressent de 4% sur un an tandis que les passoires thermiques reculent. Cette polarisation progressive du marché lyonnais anticipe probablement les futures contraintes réglementaires sur la location des passoires thermiques.
Faiblement sur les maisons (52€/m² seulement entre C-D-E et F-G) mais davantage sur les appartements (19% d'écart). Le potentiel très négatif (-599€/m² maisons, -358€/m² appartements) indique une surévaluation générale des passoires thermiques. Le dynamisme économique de la métropole maintient des prix élevés indépendamment du DPE.
Faiblement sur les maisons (52€/m² seulement entre C-D-E et F-G) mais davantage sur les appartements (19% d'écart). Le potentiel très négatif (-599€/m² maisons, -358€/m² appartements) indique une surévaluation générale des passoires thermiques. Le dynamisme économique de la métropole maintient des prix élevés indépendamment du DPE.