Lille présente un marché relativement homogène avec des écarts DPE modérés. Les maisons DPE A-B (3 209€/m²) ne bénéficient que de 70€/m² de prime sur les C-D-E et 351€/m² sur les F-G. Cette faible différenciation génère un potentiel de rénovation négatif (-236€/m²), suggérant une sous-valorisation de l'efficacité énergétique.
Paradoxalement, le marché des appartements montre une inversion : les C-D-E (4 044€/m²) se vendent plus cher que les A-B (3 769€/m²), créant une situation atypique. Cette anomalie pourrait refléter la prédominance du bâti ancien en centre-ville, où charme architectural et localisation priment sur la performance énergétique. L'évolution sur cinq trimestres confirme cette tendance avec une appréciation plus forte des biens anciens, malgré leurs performances énergétiques médiocres.
Les appartements C-D-E (4 044€/m²) se vendent plus cher que les A-B (3 769€/m²), une anomalie rare. Cette inversion reflète la prédominance du bâti ancien flamand en centre-ville, valorisé pour son cachet architectural malgré ses performances énergétiques médiocres. Le potentiel très négatif (-575€/m²) confirme que la rénovation n'est pas économiquement viable.
Les appartements C-D-E (4 044€/m²) se vendent plus cher que les A-B (3 769€/m²), une anomalie rare. Cette inversion reflète la prédominance du bâti ancien flamand en centre-ville, valorisé pour son cachet architectural malgré ses performances énergétiques médiocres. Le potentiel très négatif (-575€/m²) confirme que la rénovation n'est pas économiquement viable.