Caen présente un marché normand typique avec des inversions surprenantes. Les maisons DPE C-D-E (3 471€/m²) se vendent plus cher que les A-B (3 394€/m²), tandis que les F-G restent en retrait à 2 958€/m². Le potentiel de rénovation limité (47€/m²) suggère une valorisation correcte des travaux.
Sur les appartements, les écarts sont également atypiques : les F-G (3 618€/m²) se valorisent mieux que les C-D-E (3 413€/m²). Cette anomalie génère un potentiel de rénovation négatif de -698€/m². L'analyse temporelle révèle une stabilité relative, suggérant que ces inversions sont structurelles plutôt que conjoncturelles.
Le marché caennais présente des anomalies marquées : les maisons C-D-E (3 471€/m²) dépassent les A-B (3 394€/m²), et les appartements F-G (3 618€/m²) surpassent les C-D-E (3 413€/m²). Ces inversions reflètent la valorisation du patrimoine architectural normand, où les biens anciens du centre-ville, malgré leurs piètres performances énergétiques, bénéficient d'emplacements et d'un cachet supérieurs.
Le marché caennais présente des anomalies marquées : les maisons C-D-E (3 471€/m²) dépassent les A-B (3 394€/m²), et les appartements F-G (3 618€/m²) surpassent les C-D-E (3 413€/m²). Ces inversions reflètent la valorisation du patrimoine architectural normand, où les biens anciens du centre-ville, malgré leurs piètres performances énergétiques, bénéficient d'emplacements et d'un cachet supérieurs.