
Angers affiche un marché équilibré avec des dynamiques DPE surprenantes. Les maisons DPE C-D-E (3 284€/m²) se vendent légèrement plus cher que les A-B (3 243€/m²), une anomalie de marché. Les F-G restent en retrait à 3 020€/m² avec un potentiel de rénovation négatif (-282€/m²).
Sur les appartements, la hiérarchie est respectée : 4 076€/m² pour les A-B contre 4 045€/m² pour les F-G, un écart minimal suggérant une faible sensibilité au DPE. L'analyse temporelle révèle une volatilité importante avec des corrections brutales sur certains trimestres. Cette instabilité pourrait refléter un marché en transition, cherchant encore ses repères face aux nouvelles contraintes énergétiques.
Cette anomalie de marché (3 284€/m² pour les C-D-E contre 3 243€/m² pour les A-B) s'explique par la prédominance du bâti ancien de caractère en centre-ville, souvent classé C-D-E. Ces biens bénéficient d'emplacements premium et d'un cachet architectural que n'ont pas forcément les constructions neuves A-B. Le potentiel de rénovation négatif (-282€/m²) confirme que le marché valorise déjà ces atouts patrimoniaux.
Cette anomalie de marché (3 284€/m² pour les C-D-E contre 3 243€/m² pour les A-B) s'explique par la prédominance du bâti ancien de caractère en centre-ville, souvent classé C-D-E. Ces biens bénéficient d'emplacements premium et d'un cachet architectural que n'ont pas forcément les constructions neuves A-B. Le potentiel de rénovation négatif (-282€/m²) confirme que le marché valorise déjà ces atouts patrimoniaux.